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hivernale arguis

Bien voila encore un week-end bien sympa qui viens de se terminer et 1223km de plus au compteur.
Un grand merci au Moto Club Monrepos
La petite Mash 400 fonctionne toujours très bien malgré les regards intrigués de certains
Une petite concentre moto avec pas trop de monde, ce que je préfère avec un très grand moment de convivialité le samedi soir tous réunis autour d’un grand et unique feu de camp. Bref à refaire avec plaisir
Levé vendredi matin à 5 heures c’est sous une pluie fine que je commence la route.
Enfin pas de la belle route puisque j’ai pas mal de voie express à me taper,
dur dur, tout ce que je n’aime pas.
Avant d’arriver à Bordeaux, je décide de couper vers Libourne.
Vue que je passe pas loin de chez CHODA je décide de passer pour les saluer.
Et voila la galère qui commence.
Depuis mercredi je collectionne les conneries.
Cela a commencé par le démontage du pare-brise du side-car pour le mettre sur la moto en remplacement de celui que m’avait rayé Valou.
Résultat une heure après avoir garé la moto dans ma descente de cave,
Celle-ci bascule sur le muret toute seule devant mes yeux et le pare brise explose…..
Bref je suis dégoûté et en colère contre moi.
Donc arrivé chez Choda je me rends compte que j’ai une petite fuite d’huile au bouchon
De carter alternateur,
Pas grave, je le resserre mais je le casse. Deuxième conneries en trois jours.
Résultat je perds trois heures à trouver un bouchon chez un revendeur à Langon.
Encore merci au fils d’Albert qui a pris sur son temps pour me dépanner.
Du coup je l’ai invité au resto pour le remercier
En plus d’avoir la passion de la moto et du side-car, il est serviable, encore merci à toi l’ami
Conclusion, lorsque ta moto fonctionne bien évite d’y toucher.
Forcement je repars tard et après la traversé de Pau j’attaque le col du Pourtalet de nuit.
Je passe le col sous le regard intriguer de la police espagnol qui se demande ce que je fout tout seul ici de nuit.
En haut pas un poil de neige sur la route, et à peine quelques plaques sur les pistes.
Dur saison pour le monde de la montagne.
Arrivé vers 9 heures je plante ma toile de tente une nouvelle fois avec la lumière de ma frontale.
Heureusement je retrouve mes potes français déjà sur place.
Le retour se fera par un autre col, encore une mauvaise idée de ma part car la route est moins belle que celle passée de nuit et je prendrais de nouveau la flotte après Ruffec.

L’année prochaine j’essaierais d’y retourner mais cette fois ci avec le side-car même si la traversée des landes est extrêmement chiante avec ces grandes lignes droites qui n’en finissent pas.
Et puis si ma traductrice ne veut toujours pas venir avec moi (alors ma Francine) promis je vais me remettre à la pratique de la langue local car c’est dommage de ne pas pouvoir partager plus

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