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WILD HOGS 2018
Après 3 semaines de super vacances passées en haute Maurienne l’invitation des Wild Hogs était une super opportunité pour retourner après 3 jours de boulot à la montagne
Encore un weekend riche plein d’émotions et de très bons moments
Départ vendredi matin vers 7 heures.
La les galères commencent. Déjà je n’ai réussi à dormir que pendant 3 heures.
C’est donc fatigué que je prends la route pour une longue journée de moto.
Au bout de 60 km je m’arrête rapidement dire un petit bonjour au paternel et ma tante au Blanc.
Après un café je repars aussitôt.
Malheureusement au bout de 15 km c’est la flotte qui me tombe dessus.
Une pluie bien fine, bien pénétrante qui ne me lâches pas.
Avec la mauvaise visibilité, plus les caisseux qui roulent à 70 de peur d’être flashés, ça n’avance pas.
A 13 heures je m’arrête manger avant Clermont.
Après Brioude je commence à piquer du nez et d’un seul coup j’évite un camion dans le même sens que moi.
Je stop les conneries et je pique un roupillon de 20 mm sur le bord de la route.
J’arrive enfin au Puy en Velay et les routes sympas commencent.
A Vanosc j’en profite pour saluer la famille Pinsole et je reprends rapidement ma route.
J’arrive enfin sur le site vers 22h10 bien crevé.
Alors cette concentre, c’est le grand pied. Que du beau monde
La super soirée.
Vendredi soir c’est café Théâtre.
Entre le Fab Mach Mach et Or Feuil qui te sortent une connerie à la minute, difficile de ne pas avoir mal au ventre en rigolant.
Surtout que pour la soirée Dj Camille est à la console pour couronner le tout.
La nous avons eu droit à une sélection musicale au Top du Top
Après les sucés des Charlots, nous avons eu droit à Annie Cordy, Charles Aznavour, Fernandel, Topalof , Henri Salvador…
Merde il est quand même 2h30 du mat lorsque je vais me coucher, sacré soirée.
Comme un blaireau je n’ai pris qu’un duvet et je me caille toute la nuit.
Samedi c’est le grand jour.
Après un ptit café, enfin non mais ce n’est pas grave, je rejoins un petit groupe pour une super balade.
Notre ami Wolf trace la route et ça commence très fort.
Nous arrivons sur une petite route en corniche que je n’affectionne pas trop.
Comment dire, j’ai faillis user mon embout de guidon droit sur la paroi, la faute à une route pas très large.
Nous rejoignons ensuite la station des deux Alpes, piège à touriste que je n’affectionne pas beaucoup pour nous rendre ensuite au col du Lautaret.
Après un repas entre copains c’est le grand moment.
Depuis ce matin je suis notre petit groupe, mais la c’est le moment de vérité.
Le fameux col du Galibier qui c’est déjà refusé à moi plusieurs fois.
Coincé entre l’envie d’enfin atteindre le sommet et la peur d’être ridicule, je suis mes camarades.
Au Bout de 2 km j’ai dépassé le fameux virage ou je coinçais.
Partagé entre ma peur du vide et la beauté du paysage j’avance doucement, ayant une légère tendance à m’éloigner du bord de la route pour me rapprocher de la paroi.
Bref un vrai danger pour les usagers venant en sens inverse et je m’en excuse.
Je n’ai pas réussi à suivre la cadence du groupe et je termine les 2 derniers km d’ascension seul avec ma peur.
Enfin, c’est la délivrance avec l’arrivée sur le parking.
Ce qui est pour certain, une balade ordinaire est pour moi un grand moment de délivrance.
Merci à tous de m’avoir entrainé la haut, sans vous je n’y serais pas arrivé.
La descente vers Valloire sera beaucoup plus facile même si un couillon en combi va doubler des vélos en montée dans un virage m’obligeant à passer au bord du vide, salopard.
La suite est beaucoup plus facile avec le col du Molard et la montée de du col de la croix de fer, je suis comment dire libéré et soulagé.
Avant de rejoindre la concentre certain fond la fameuse petite route à frissons, la j’ai eu ma part dans la journée et avec le reste du groupe nous prenons une vraie route.
La soirée encore une fois sera au top, que des amis, un repas au poil et la bière est bonne.
Bizarrement j’ai très bien dormi, je n’ai pas rêvé que je tombais dans le vide et je me réveille bien reposé.
Après un bon petit déjeuner très complet et en abondance il est temps de reprendre la route.
Un grand merci à tous ceux qui ont œuvré pour que cette concentre soit un succès.
Franchement les heures de routes valent largement le déplacement.
Merci pour votre invitation
Sur le retour je repasse chez la famille Montagnon, gros bisous à eux pour l’accueil et leur gentillesse.
Voila encore 1529 km avec la petite 400 Mash qui totalise maintenant plus de 65000 km.
Alors ce n’est peut être pas la reine de la route, mais en montagne elle à suivie les grosses cylindrés sans soucis et elle me plait toujours autant avec ces 3L5 de conso sur les grands trajetsAprès 3 semaines de super vacances passées en haute Maurienne l’invitation des Wild Hogs était une super opportunité pour retourner après 3 jours de boulot à la montagne
Encore un weekend riche plein d’émotions et de très bons moments
Départ vendredi matin vers 7 heures.
La les galères commencent. Déjà je n’ai réussi à dormir que pendant 3 heures.
C’est donc fatigué que je prends la route pour une longue journée de moto.
Au bout de 60 km je m’arrête rapidement dire un petit bonjour au paternel et ma tante au Blanc.
Après un café je repars aussitôt.
Malheureusement au bout de 15 km c’est la flotte qui me tombe dessus.
Une pluie bien fine, bien pénétrante qui ne me lâches pas.
Avec la mauvaise visibilité, plus les caisseux qui roulent à 70 de peur d’être flashés, ça n’avance pas.
A 13 heures je m’arrête manger avant Clermont.
Après Brioude je commence à piquer du nez et d’un seul coup j’évite un camion dans le même sens que moi.
Je stop les conneries et je pique un roupillon de 20 mm sur le bord de la route.
J’arrive enfin au Puy en Velay et les routes sympas commencent.
A Vanosc j’en profite pour saluer la famille Pinsole et je reprends rapidement ma route.
J’arrive enfin sur le site vers 22h10 bien crevé.
Alors cette concentre, c’est le grand pied. Que du beau monde
La super soirée.
Vendredi soir c’est café Théâtre.
Entre le Fab Mach Mach et Or Feuil qui te sortent une connerie à la minute, difficile de ne pas avoir mal au ventre en rigolant.
Surtout que pour la soirée Dj Camille est à la console pour couronner le tout.
La nous avons eu droit à une sélection musicale au Top du Top
Après les sucés des Charlots, nous avons eu droit à Annie Cordy, Charles Aznavour, Fernandel, Topalof , Henri Salvador…
Merde il est quand même 2h30 du mat lorsque je vais me coucher, sacré soirée.
Comme un blaireau je n’ai pris qu’un duvet et je me caille toute la nuit.
Samedi c’est le grand jour.
Après un ptit café, enfin non mais ce n’est pas grave, je rejoins un petit groupe pour une super balade.
Notre ami Wolf trace la route et ça commence très fort.
Nous arrivons sur une petite route en corniche que je n’affectionne pas trop.
Comment dire, j’ai faillis user mon embout de guidon droit sur la paroi, la faute à une route pas très large.
Nous rejoignons ensuite la station des deux Alpes, piège à touriste que je n’affectionne pas beaucoup pour nous rendre ensuite au col du Lautaret.
Après un repas entre copains c’est le grand moment.
Depuis ce matin je suis notre petit groupe, mais la c’est le moment de vérité.
Le fameux col du Galibier qui c’est déjà refusé à moi plusieurs fois.
Coincé entre l’envie d’enfin atteindre le sommet et la peur d’être ridicule, je suis mes camarades.
Au Bout de 2 km j’ai dépassé le fameux virage ou je coinçais.
Partagé entre ma peur du vide et la beauté du paysage j’avance doucement, ayant une légère tendance à m’éloigner du bord de la route pour me rapprocher de la paroi.
Bref un vrai danger pour les usagers venant en sens inverse et je m’en excuse.
Je n’ai pas réussi à suivre la cadence du groupe et je termine les 2 derniers km d’ascension seul avec ma peur.
Enfin, c’est la délivrance avec l’arrivée sur le parking.
Ce qui est pour certain, une balade ordinaire est pour moi un grand moment de délivrance.
Merci à tous de m’avoir entrainé la haut, sans vous je n’y serais pas arrivé.
La descente vers Valloire sera beaucoup plus facile même si un couillon en combi va doubler des vélos en montée dans un virage m’obligeant à passer au bord du vide, salopard.
La suite est beaucoup plus facile avec le col du Molard et la montée de du col de la croix de fer, je suis comment dire libéré et soulagé.
Avant de rejoindre la concentre certain fond la fameuse petite route à frissons, la j’ai eu ma part dans la journée et avec le reste du groupe nous prenons une vraie route.
La soirée encore une fois sera au top, que des amis, un repas au poil et la bière est bonne.
Bizarrement j’ai très bien dormi, je n’ai pas rêvé que je tombais dans le vide et je me réveille bien reposé.
Après un bon petit déjeuner très complet et en abondance il est temps de reprendre la route.
Un grand merci à tous ceux qui ont œuvré pour que cette concentre soit un succès.
Franchement les heures de routes valent largement le déplacement.
Merci pour votre invitation
Sur le retour je repasse chez la famille Montagnon, gros bisous à eux pour l’accueil et leur gentillesse.
Voila encore 1529 km avec la petite 400 Mash qui totalise maintenant plus de 65000 km.
Alors ce n’est peut être pas la reine de la route, mais en montagne elle à suivie les grosses cylindrés sans soucis et elle me plait toujours autant avec ces 3L5 de conso sur les grands trajets
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